Et si le plus grand trésor du Maroc… ce n’était pas le soleil, ni le tourisme… mais ses mains ?
Celles qui tissent, qui sculptent, qui extraient, des savoir-faire transmis depuis des siècles… et qui, aujourd’hui, valent de l’or.
Le problème ? On les oublie.
Et souvent, ils sont exploités par des sociétés étrangères, pendant que d’autres les copient, le Maroc perd parfois ce qu’il a de plus précieux.
Alors aujourd’hui, on va en parler. Pas avec nostalgie — mais avec lucidité.
Assalam aleykoum si tu suis mon blog, tu sais que je parle souvent d’entreprendre, de s’expatrier,d’immigration mais aussi de comprendre le Maroc d’aujourd’hui.
Mais aujourd’hui, on va parler de ce que le Maroc sait faire de mieux.
Pas de business d’import, pas de digital non.
De l’artisanat, du vrai.
Des huiles, du textile, des matériaux, des senteurs — ces métiers qui portent notre identité et qu’on peut transformer en or.
Reste bien jusqu’à la fin, parce qu’on va voir 4 savoir-faire marocains qui peuvent devenir des succès mondiaux si on les valorise comme il faut.
Et commence tout de suite avec l’or liquide du Maroc !
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🥇 1. les huiles marocaines
On commence avec l’évidence : les huiles… l’huile d’argan, d’olive et celle de figue de barbarie.
Trois trésors que le monde entier envie.
Tu veux un chiffre ? Il faut 40 kilos de fruits d’argannier pour faire un seul litre d’huile.
Et derrière chaque flacon, ce sont des femmes, du soleil, des gestes anciens.
Pourtant, regarde ça : L’Oréal — gigantesque groupe cosmétique — utilise l’huile d’argan dans ses formules (pour les cheveux, pour la peau) pour ses propriétés nourrissantes et antioxydantes.
Par exemple, leur Huile Extraordinaire 100 ml est vendue à 12,99 € en France.
Boutique en ligne Ou ce masque Disciplinant enrichi en huile d’argan — 310 ml à 8,65 €.
Le paradoxe ?
Alors que L’Oréal valorise cette huile dans ses produits finaux, beaucoup d’entreprises étrangères achètent la matière première au Maroc à bas prix, la reconditionnent ailleurs…et la revendent parfois 10 fois, 50 fois, cent fois plus cher.
C’est classique.
Le Maroc produit le trésor, mais d’autres encaissent la plus grosse part de la valeur.
Mais les choses commencent à bouger, de jeunes marques marocaines montent en puissance : packaging moderne, circuit court, traçabilité.
Des marques comme Green Mood (Sud Bio), qui produisent des huiles d’argan et de figue de barbarie 100 % bio, exportent aujourd’hui vers des marchés internationaux et sont présentes dans des boutiques d’aéroport ou en duty-free.
Tigontaf Argane (Argan Maroc) est un autre exemple : entreprise marocaine qui structure la production / commercialisation de l’huile d’argan bio. arganmaroc.ma
Et il y a aussi BioAgadir, un laboratoire marocain qui collabore avec des coopératives locales, valorise la traçabilité et le packaging moderne et fait office de grossiste d’ailleurs si vous souhaitez lancer votre propre projet.
Certaines coopératives ont même été formées via des programmes du gouvernement pour améliorer leur packaging, leur marketing, et surtout leur accès aux marchés internationaux. Médias24 https://medias24.com/2023/05/22/comment-le-maroc-a-metamorphose-ses-cooperatives-agricoles/?utm_source=chatgpt.com
Ce n’est pas encore massif, mais le changement est en cours — des marques marocaines locales essayent de tirer profit du trésor national !
D’ailleurs, toi, quand tu achètes une huile cosmétique — tu fais confiance aux marques marocaines ou tu préfères tout de même des marques étrangères ?
Dis-le en commentaire, ça m’intéresse vraiment de savoir la mentalité des gens à ce sujet..
Et si t’aimes ce type de sujet, n’hésite pas à le faire savoir avec un like et un abonnement à la chaîne pour que la vidéo ressorte un maximum.
Place au 2e trésor marocain
🧶 2. Les mains qui tissent — textile & artisanat
Parlons maintenant du textile et de l’artisanat — le vrai cœur du Maroc.
Le problème, ce n’est pas le talent.
C’est la vision à court terme que l’on a au Maroc.
Beaucoup d’artisans marocains fabriquent des merveilles… mais sans jamais penser marque.
Pas de logo.
Pas de storytelling.
Pas de stratégie.
On vend au souk, on encaisse, et on recommence.
Résultat : ces tapis ou ces cuirs, faits à la main, partent parfois à 1 000 dirhams ici…
et se retrouvent à 700 € dans des showrooms européens.
Par exemple, la marque Them, à Paris, vend des tapis berbères “authentiques” entre 500 et 700 €.
Attention, ce n’est pas qu’ils volent l’artisan — ils savent juste raconter l’histoire.
Un nom, une identité, un site clair, une belle photo, une émotion derrière chaque pièce.
Et c’est exactement là que les Marocains peuvent reprendre la main.
Tu veux créer ta marque de déco ou de textile marocain ?
Voici par où commencer :
1️⃣ Va directement à la source.
À Marrakech, Taznakht, Azilal, ou même dans les villages autour de Fès.
Les artisans adorent collaborer quand tu respectes leur travail et que tu leur expliques ta vision.
2️⃣ Travaille la marque avant le produit.
Choisis un nom marocain simple, une identité visuelle forte, une promesse claire.
Pas besoin d’un énorme budget — juste de la cohérence.
3️⃣ Sois transparent.
Montre les visages derrière ton produit.
Les gens ne veulent plus juste “acheter marocain” — ils veulent comprendre ce qu’ils achètent : qui l’a tissé, où, avec quelle matière.
4️⃣ Pense global dès le départ.
Etsy, Shopify, TikTok Shop… tout est accessible depuis ton ordinateur.
Des marques comme Beni Rugs l’ont fait : production locale, clients à l’international.
Et c’est là que le digital change tout.
Le digital, c’est la nouvelle médina.
C’est là que tu racontes ton histoire, que tu montres ton savoir-faire, que tu crées ta communauté.
Sauf que… ça, personne ne te l’a appris.
Comment créer une audience autour de ton histoire ?
Comment créer une marque qui inspire confiance ?
Comment transformer ton idée, ton talent, en business durable ?
C’est exactement ce que j’enseigne dans mon académie Monétise ta Passion.
J’ai rouvert les inscriptions cette semaine, avec un prix exceptionnel jamais atteint,
un programme complet de 9 modules, et une garantie satisfait ou remboursé 30 jours — parce que je veux que tu testes sans stress et que je suis confiant dans ce que je t’enseigne car c’est ce que je fais tous les jours moi-même.
On y voit tout :
👉 Comment créer ta marque personnelle
👉 Comment utiliser YouTube et Instagram pour attirer tes premiers clients
👉 Comment structurer ton offre, ton storytelling, ton positionnement
👉 Et comment faire du digital ton levier de liberté, depuis le Maroc ou ailleurs.
Et le meilleur dans tout ça ?
Tu ne seras pas seul.
Il y a une communauté privée d’entraide, pleine de Marocains et d’expats comme toi,
qui avancent, se soutiennent, et partagent leurs résultats.
Donc si tu veux apprendre à raconter ton savoir-faire et à créer ton indépendance grâce au digital, clique sur le lien dans la description et rejoins-nous dans l’académie MTP.
Parce que le Maroc a déjà le talent.
Ce qu’il lui manque, c’est des gens qui savent le faire rayonner.
Pour le troisième trésor, je te propose de parler architecture marocaine !
🧱 3. Le tadelakt & le zellige — l’architecture vivante
Parlons du tadelakt et du zellige.
Pas comme des souvenirs de médina,
mais comme des technologies naturelles inventées bien avant le mot “écoconstruction”.
Le tadelakt, c’est de la chaux, de l’eau, du savon noir.
Aucun plastique, aucun additif chimique.
Et pourtant, c’est imperméable, antibactérien, et 100 % recyclable.
Tu te rends compte ?
On cherche partout des matériaux écolos à l’étranger, alors que le Maroc en produit depuis des siècles.
Même chose pour le zellige.
Chaque pièce est cuite à la main, découpée une par une, et quand tu regardes une façade en zellige, tu vois… une leçon d’économie circulaire. Rien ne se perd, les chutes sont réutilisées, tout est local.
Et aujourd’hui, ce savoir-faire répond exactement aux tendances mondiales :
architecture durable, matériaux naturels, authenticité, production artisanale.
Et là, il y a un potentiel économique énorme.
Dans le monde, le marché de la construction éco-responsable dépasse les 500 milliards de dollars.
Les hôtels de luxe, les spas, les architectes recherchent des matériaux avec une identité locale forte.
Le problème, c’est que la majorité des chantiers marocains utilisent parfois des matériaux importés.
C’est là qu’il faut inverser la logique.
Ce n’est pas du rêve : certains le font déjà.
À Marrakech, des ateliers livrent des hôtels à Bali et à Londres.
C’est la preuve que ce patrimoine peut devenir un secteur d’avenir,
pas seulement pour préserver la tradition, mais pour en vivre dignement.
Et si tu travailles dans la construction, le design ou le digital, retiens bien ça :
le futur du bâtiment, ce ne sera pas le béton. Ce sera la matière locale et la main humaine dans une ère où tout le monde parle d’intelligence artificielle !
Curieux d’avoir ton avis en commentaire, surtout si tu t’y connais en immobilier et en construction, tu me diras ce que tu penses de ce que je viens de dire !
On a parlé de murs, de matières, de gestes anciens…
Maintenant, place à quelque chose de plus sensoriel.
Parce qu’il y a un autre trésor marocain qu’on ne voit pas, mais qu’on ressent dès qu’on pose le pied ici : les saveurs et les senteurs du Maroc.
🌸 4. Les senteurs et les saveurs — l’âme du Maroc
On finit avec ce que le Maroc fait depuis toujours : parfumer et nourrir le monde.
Le safran de Taliouine, les roses de Kelaat M’Gouna, les huiles essentielles, les épices de nos souks…
Ce n’est pas juste du commerce, c’est un lien entre les régions, entre les peuples.
Le problème, c’est qu’on vend souvent ça comme des souvenirs.
Des sachets, des fioles, encore et encore sans marque marocaine forte derrière.
Alors que le Maroc pourrait créer de vraies marques sensorielles, fières de leur origine, à la manière des maisons françaises de parfum ou des labels italiens de gastronomie.
Imagine : un coffret “Rituel du Sud” — huile d’olive, safran, poterie de Safi.
Ou une marque d’arômes naturels “Made in Morocco”, distribuée à l’international. Tout est là. Il manque juste la vision.
Parce que le marché est colossal.
Le marché mondial du parfum / des fragrances est estimé à plus de 55 milliards de dollars en 2024, et il devrait atteindre 88 milliards d’ici 2033, avec une croissance annuelle d’environ 5 %.
Tu vois, quand on parle du Maroc, on pense souvent au soleil, au thé, au sable…
Mais la vraie richesse du pays, c’est ce qu’il crée.
Des produits, des savoir-faire, des talents capables de rivaliser avec le monde entier.
Le seul problème, c’est qu’on ne valorise pas encore assez ce qu’on a entre les mains.
Et pourtant, les opportunités sont là — énormes.
Et si tu veux te lancer, t’as pas besoin d’un business plan à 10 pages.
Commence petit, teste ton idée, crée ton premier produit.
D’ailleurs, si t’as pas encore vu ma vidéo sur le statut auto-entrepreneur,
c’est littéralement le cadre parfait pour ça :
1 % d’impôt sur le chiffre d’affaires, pas de TVA, pas de comptabilité compliquée.
C’est le meilleur moyen de tester ton concept sans prendre de risque, je t’affiche la vidéo si tu veux la consulter.
Le Maroc a tout : la ressource, le savoir, la créativité.
Ce qu’il faut maintenant, c’est oser.
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